• En l'occurrence, les cellules souches, à l'origine du fonctionnement et de la jeunesse de la peau. Cette année, elles refont l'actu. Il faut dire que depuis la mise en lumière
    du rôle essentiel des cellules souches épidermiques (une seule d'entre elles peut générer cent milliards de kératinocytes !), la science a fait du chemin. Les découvertes récentes ont mis en avant l'influence de leur niche environnementale : « Un peu comme un coquillage qui ne peut pas vivre sans sa coquille, les cellules souches ont un besoin vital de cet ancrage », illustre Edouard Mauvais-Jarvis, directeur de la communication scientifique Dior. Les formules cosmétiques
    visent donc à préserver cette fameuse niche et à la rendre plus accueillante.

    Comment?


    Grâce à une batterie d'actifs (antioxydants, rhamnose, dérivé de vitamine E ... ) et de complexes brevetés. « Il ne s'agit surtout pas de stimuler directement les cellules souches, mais bien de les placer dans un environnement protecteur pour qu'elles fonctionnent au mieux », insiste Elisabeth Bouhadana,  directrice de la communication scientifique. L'Oréal Paris. Idem avec les cellules souches
    plus profondes, situées dans le derme et dans l'hypoderme, dont on commence à
    parler. Même si l'on anive, à l'instar des laboratoires Dior, à leur envoyer un message afin qu'elles créent de nouveaux fibroblastes plutôt que n'importe quelle autre cellule ... De quoi renforcer ainsi les fondations en profondeur pour une peau visiblement plus dense.


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  • La robe noire de la Môme Piaf a un petit coup de mou ... Choucroutées, overdressed, juchées sur des talons de 25 centimètres, les mégastars de la pop music Lady Gaga, Nicki Minaj, Laura et Katy Perry révolutionnent les codes vestimentaires. Car pour enflammer les fans avec les shows de leurs tournées mondiales, elles doivent vraiment mettre les bouchées doubles. Autre temps, autres mœurs. «On s'était lassé
    du no look, ces filles sont de véritables parcs d'attractions. Elles rappellent, en ces temps de crise, que la musique est une fête », explique Vincent Grégoire,
    chasseur de tendances pour l'agence Nelly Rodi. Dans une quête éperdue de communion universelle, ces superhéroïnes version 2.0 réinventent une spiritualité
    new age dont elles seraieni les prêtresses déguisées. Exhibant les signes extérieurs de la féminité, elles déclenchent cependant l'opprobre de leurs aînées qui, longtemps avant elles, avaient jeté leurs soutiens- gorge par-dessus les barricades ...

    DES "GLAMAZONES" QUI PRENNENT LE POUVOIR EN S'AMUSANT

    Cheveux en polyester, robe en viande crue, maquillage baby doll version trash ... une telle surenchère d'effets cacherait-elle un message vide de sens? « Nourries
    depuis leur plus tendre enfance de clips, de mangas et de réseaux sociaux, ces filles sont les nouvelles conquérantes, des « glamazones » qui prennent le pouvoir en
    s'amusant », décrypte Vincent Grégoire. Tout sucre sur scène, elles n'hésitent pas à mettre leur grain de sel dans les combats qui leur tiennent à cœur. Lady Gaga
    a ainsi obtenu un rendez-vous avec Barack Obama. Autre icône overlookée, Beth Ditto s'est associée à MAC, marque de cosmétiques engagée dans la lutte
    contre le sida ... Pour son nouveau tour de chant, Lady Gaga est apparue sur la scène du Stade olympique de Séoul, le 27 avril, dans un justaucorps constitué de
    morceaux de guitares et sous un chapeau clavier de piano. Face à une telle force de frappe, les stars masculines ont du souci à se faire. En attendant que les nouveaux Bowie et les nouveaux Boy George fassent leur coming out, notre Johnny national, qui s'est offert une standing ovation pour son retour sur scène à Los
    Angeles, reste notre star du look incontestée.


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